Very Rev Fr Bernard Hafkenscheid, C.SS.R. (1807 – 1865) — Chapter I
Redemptorist Missioners of all time
Written by Rev Fr M.J.A. Lans
Professor at the Minor Seminary of Haarlem, Holland
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Readers of Papa Stronsay Texts will notice that Fr Bernard is also pictured in the title bar of this blog. This life, unfortunately for the moment only available in French, has been typed for the Texts from an 1882 edition. The work will appear chapter by chapter. The dedication to His Holiness Pope Leo XIII, Preface by the Redemptorist Cardinal Dechamps, Archbishop of Malines, and Author’s introduction will be reproduced at the end of the life. Fr Bernard was known, and is known to posterity, as simply that. Several Redemptorists who had complicated Dutch or German surnames used their Christian names throughout their lives.
Fr Bernard was a native of Holland, having been born at Amsterdam on the 12th of December, 1807. Having finished his ecclesiastical Studies in Rome, with great distinction, he took his degree of Doctor of Divinity, after which followed his ordination, on St Patrick’s day 1832. Very soon afterwards he entered the Congregation of the Most Holy Redeemer in Italy. The Superiors sent him for his Novitiate to Austria, where he made his Vows on the 7th of October, 1833.
He had every requirement looked for in a preacher, a most imposing presence, a voice of wonderful flexibility and power, graceful gesture, great talent for Ecclesiastical Studies, and still greater industry, a warm heart, and a piety which thirty-two years of ceaseless labour increased rather than diminished. He preached Missions in his own Dutch language, and if not with equal facility, certainly with equal force, in French and English. He knew German and spoke Italian fluently.
His Career as a missionary extended all over Holland, and into many parts of England, Belgium, and the United States. After his labours in the United States as Missionary and Provincial he came to Limerick, Ireland, to be Superior of the House and Director of all the missions in Ireland and England. He formed in those parts the younger Fathers, and taught them how to give Missions.
His contemporaries at Wittem said that they knewn him to place himself in an oratory that looked into the church, and there under the eye of Our Blessed Lord, think out and write his sermons. He had quite an extraordinary devotion to the Sorrows of Our Blessed Lady. In the intervals between the Missions, when he returned home for a little rest, outside the time for the community exercises, he could be found in his cell reading the works of the Fathers and great writers of the Church. In his spare moments he might be seen walking in the garden saying the Rosary of the Seven Dolours, which he sometimes recited several times in the day.
While instructing the children during a Mission given in 1865, he tripped over a low bench and fell heavily to the ground, thus badly injuring his leg. This was the beginning of the end. The injury received reduced him to a state of inactivity which brought on complications. He died at Wittem on the Feast of Our Lady Mother of the Divine Pastor, 1865. He had not yet attained his 60th year, while two of his companions in the Roman College became more than Octogenarians. One was Archbishop Kirby, late Rector of the Irish College, the other the late Holy Father Leo XIII. His Holiness retained a most affectionate remembrance of his fellow student; and, pronouncing distinctly his very difficult Dutch surname, often spoke of him as a very great missionary.
The Youth of Fr Bernard and his First Years of Study
(Summary in English: Fr Bernard was born of pious parents, Michel and Catherine-Adelaïde Hafkenscheid in Amsterdam. It was here that his father had come to seek his fortune and by dint of hard and persevering work he had succeeded. He was one of 12 children, six of whom died. It was Bernard who of the 3 remaining boys would occupy such a distinguished place in the history of the Catholic Church in Holland. As a boy he liked very much to play the priest. On one occasion while “saying Mass” he delivered a very moving “sermon” on the Holy Name of Jesus which touched the members of his household. Even at the age of ten he had a superiorly beautiful and resounding voice. He was a jovial and popular youth and was known amongst his companions as “Happy Nard”, a diminutive of Bernard. He prepared for his First Communion most seriously, his mother one day finding him prostrate on the floor of his room praying for the graces he needed on the great day. At the age of 13 he entered the Minor Seminary of Hageveld and later became such an ornament of that institute that his name, by that time famous, was used to prove the worth of the Seminary against critics. One of his masters later remarked when he became a Redemptorist that "I have always thought that for such a great soul, a single village or a single town would have been a too limited sphere of action.”)
Au commencement de ce siècle, vivaient à Amsterdam deux époux sincèrement chrétiens, que tous leurs amis et connaissances avaient en singulière estime.
Michel Hafkenscheid, né a Ulft en Gueldre, de parents plus distingués par leurs vertus que par leur richesses, avait, jeune encore, entrepris le voyage de la capitale des Pays-Bas. Il allait, selon l'expression vulgaire, y chercher fortune. Après quelques années d'un travail assidu, il épousa, le 21 juin 1801, Catherine-Adelaïde Weber, originaire d'Amsterdam, ornée comme lui d'une grande piété. Grâce à leur foi solide et à leur conduite chrétienne, les deux époux virent se réaliser en eux cette parole du Sauveur : Cherchez avant tout le royaume de Dieu en sa justice, et le reste vous sera donné comme par surcroît. En peu d'années, ils amassèrent une fortune considérable. Ils en firent un bon usage; car leur générosité les rangea parmi les catholiques les plus charitables d'Amsterdam. Dieu bénit leur union en leur donnant douze enfants. Six d'entre eux moururent en bas âge; les six autres, trois fils et trois filles, furent les imitateurs de leur foi et de leurs autres vertus : douce récompense des soins vigilants et assidus que s'étaient donnés les pieux parents pour leur éducation.
Dans cette belle famille, il y eut cependant un privilégié : ce fut le troisième enfant, Bernard-Joseph, dont nous allons écrire la Vie, et qui plus tard, sous le nom de Père Bernard, occupera une place si glorieuse dans l'histoire, principalement dans l'histoire de l'Eglise de Hollande.
Bernard-Joseph naquit un samedi, le 12 décembre 1807. De bonne heure on remarqua en lui une piété plus qu'ordinaire, laquelle cependant ne nuisit en rien à la franche gaieté de ses premières années.
Il se distinguait, parmi les enfants de son âge, par la jovialité et l'entrain de son caractère. Sans lui, leur joie manquait d'animation, leurs jeux n'avaient presque plus d'attrait. Toutefois, dès qu'il prenait part aux prières de la famille, ou qu'il se trouvait à l'église, sa gaieté faisait place à une certaine gravité; il dépassait même sous ce rapport ce que l'on attend pour l'ordinaire d'un enfant de son âge. A voir sa profonde piété, on eût difficilement reconnu en lui "le joyeux Nard". (Diminutif de Bernard, c'était ainsi qu'on l'appelait).
La tendresse avec laquelle, dès son enfance, il aimait les auteurs de ses jours, n'était pas moins remarquable; et en plusieurs occasions, il leur en donna les preuves les plus touchantes. Loin de s'affaiblir avec les années, cet amour filial n'en devint que plus fort et plus pur; d'où l'on peut déjà entrevoir la grandeur du sacrifice qu'il s'imposa plus tard, lorsqu'il se sépara de son père et de sa mère pour aller achever ses études à Rome, pour se renfermer ensuite dans la solitude d'un couvent, et enfin pour traverser jusqu'à trois fois l'Océan dans le but d'évangéliser l'Amérique.
Un de ses plus chers amusements consistait à "jouer au prêtre" (kerkje spelen), jeu si bien en harmonie avec les sentiments d'une famille de fervents catholiques. S'il est vrai, comme lui-même le disait souvent dans la suite, qu'une grande prédilection pour ce jeu est ordinairement un signe de vocation sacerdotale, ce signe se manifestait avec évidence dans le jeune Bernard. C'était là, pour ainsi dire, son amusement journalier, et il y réussissait si bien, que l'on était en droit de conjecturer les vues particulères de Dieu sur cet enfant. Lorsqu'il "disait la messe", les personnes de la maison devaient y assister. Et s'il arrivait que la dévotion enfantine et le sérieux édifiant avec lesquels il imitait les actions du prêtre, excitâssent le sourire des assistants, il s'en montrait froissé. Plusieurs fois même la colère s'empara de lui, parce que, dans sa simplicité, il croyait qu'on n'était pas suffisamment pénétré de la gravité de ce qu'il faisait. Il lui arrivait souvent, pendant "ces messes", de faire un sermon. Un jour, sa vocation spéciale au ministère de la chaire chrétienne sembla se révéler d'une manière frappante. Il se mit à prêcher sur le saint Nom de Jésus. Ses gestes animés, ses naïves paroles révélaient un si tendre amour envers le bon Sauveur, que les témoins de cette scène domestique s'en souviennent encore avec édification; ses parents ne furent pas les derniers à remarquer sa profonde piété, et telle fut la joie de leurs coeurs à la vue des heureuses dispositions de leur jeune fils, qu'ils ne purent retenir leurs larmes.
Vers l'âge de dix ans, Bernard avait déjà une voix sonore et supérieurement belle. Grande fut sa joie, quand on lui permit de chanter des solos dans l'église "Foi-Espérance-et-Charité". Il s'appliqua avec ardeur et succès à l'étude de la musique. Son talent musical, qui ne lui procurait alors qu'une honnête et douce récréation, il l'employa plus tard, en maintes circonstances, pour procurer la gloire de Dieu et rehausser la pompe des saintes cérémonies.
Bientöt vint le jour tant désiré, où le jeune Bernard s'approcha pour la première fois de la Table sainte. Les vieillards d'Amsterdam ne prononcent, encore aujourd'hui, qu'avec un profond respect le nom du prêtre qui desservait alors l'église "Foi-Espérance-et-Charité". Ils exaltent l'éminente sagesse, la haute vertu, l'éloquence, le dévouement, la cordialité de M. Gérard Van der Lugt, ce digne pasteur qui s'est acquis tant de titres à la reconnaissance de ses paroissiens.
Les excellentes instructions de cet excellent pasteur préparèrent on ne peut mieux le précoce enfant au grand acte de la première Communion. Il faut dire qu'elles furent parfaitement secondées par les soins attentifs d'une pieuse mère, qui ne cessait d'entretenir son enfant de l'importance de la première Communion, et qui mêlait souvent ses prières aux siennes pour lui obtenir la grâce de la bien faire. Le fait suivant montre à l'évidence combien le jeune Bernard était pénétré de la gravité de la démarche qu'il allait accomplir. Peu de temps avant le grand jour, il avait disparu tout d'un coup du milieu de ses compagnons. Sa mère inquète leur demande où il est. La seule réponse qu'ils peuvent lui donner c'est que, peu auparavant, il a encore pris part à leur jeu, mais qu'ils ignorent où il peut être pour le moment. Pleine d'anxiété, la mère se rend à la chambre de son fils. Elle l'y trouve, mais en quelle situation ? tout seul, les bras étendus, prosterné devant son crucifix, priant Dieu de bénir sa première Communion. Préparé de la sorte, il fut admis au banquet Eucharistique le 14 février 1820, dans l'église que nous avons nommée plus haut. C'est sans doute à la profonde piété dont il fut animé à l'occcasion d'un acte aussi sublime, qu'il faut attribuer l'abondance des grâces dont Dieu se plut dès lors à le favoriser.
La divine Providence avait mis dans le coeur du jeune Bernard un attrait prononcé pour l'état ecclésiastique. Aussi s'en ouvrit-il plus d'une fois aux auteurs de ses jours. Ceux-ci regardèrent comme un suprême bonheur pour eux que Dieu daignât appeler un de leurs enfants au service des autels. Tandis que d'un côté ils s'efforçaient par de ferventes prières d'attirer les bénédictions célestes sur un projet aussi important, de l'autre ils ne pouvaient en evisager les conséquences qu'avec joie. Les talents intellectuels de Bernard, son caractère noble et droit, son amour de la prière, son profond respect dans le lieu saint étaient à leurs yeux les signes les moins équivoques d'une vocation si sublime. Ils consultèrent à ce sujet leur vénérable curé, M. Van der Lugt; il fut d'avis, lui aussi, qu'un jeune homme doué de tant de talents et de vertus, était appelé à l'état ecclésiastique.
Quelques années auparavant, en 1817, trois prêtres distingués: Corneille-Louis, baron de Wycker Slaat (1), Guillaume-François Van Niel (2), et Corneille-Richard-Antoine Van Bommel (3), dont les noms passeront à la postérité, avaient acheté la maison de campagne de "Hageveld" dans la commune de Velzen, non loin de Harlem. Ils y fondèrent un séminaire et mirent à contribution, avec un dévouement sans bornes, leur fortune et leurs talents pour faire de cet établissemnt une école éminente de science et de vertu. Le séminaire conserva le nom de "Hageveld". Dieu donna à cette jeune plante une telle vigueur et une telle croissance, qu'en 1847 on dut faire l'acquisition d'un bâtiment plus vaste et plus convenable, situé à Voorhout, près de Leide. C'est là qu'aujourd'hui encore se trouve le petit séminaire de Harlem. En 1871, grâce aux soins de Sa Grandeur Mgr l'évêque de Harlem, cet établissement prit une nouvelle et importante extension.
Ce fut au séminaire de Hageveld que, tout heureux et tout pénétrés de reconnaissance envers Dieu, Michel Hafkenscheid et son épouse conduisirent leur fils, âgé de douze ans. C'était le 30 septembre 1820. On ne tarda pas à se convaincre que le jeune séminariste était vraiment à sa place. Des évènements, dont nous parlerons plus tard, furent cause que Bernard ne passa que peu d'années à Hageveld. C'en fut assez toutefois pour permettre à ses supérieurs de distinguer en lui une force d'âme, une piété, une noblesse de caractère, qui leur fit deviner longtemps à l'avance un ouvrier de premier mérite dans le champ de l'Eglise de Dieu. Disons-le : on reconnut aussi en lui une vivacité souvent excessive, une certaine fougue qui, même dans un âge plus avancé, lui donna beaucoup à lutter, et lui fournit plus d'une fois l'occasion de faire le sacrifice de sa volonté propre. Nonobstant ce défaut naturel, son caractère franc et enjoué, joint à une piété profonde, à des manières obligeantes et à une grande pureté de moeurs, lui gagnait facilement les coeurs. Aussi, plusieurs de ses condisciples de Hageveld peuvent encore attester combien Bernard Hafkenscheid était chéri de ses supérieurs et de ses condisciples.
Dès le premier jour, notre jeune séminariste se fit un devoir rigoureux de cultiver les heureux talents dont Dieu l'avait doué, afin de se perfectionner dans les diverses branches d'études auxquelles on l'appliquait. Au témoignage de l'un de ses condisciples, "il brilla dans toutes ses études, en sorte qu'il était habituellement le premier, ou du moins parmi les premiers de sa classe". La piété non commune, dont il avait déjà fourni tant de preuves au foyer paternel, reçut encore un notable accroissement sous la sage direction du régent, M. Van Bommel. Les leçons et les exemples de cet éminent directeur et des professeurs qui l'aidaient dans sa tâche, produisaient les plus beaux résultats sur l'intelligence et le coeur des jeunes séminaristes confiés à leurs soins. Bernard ne fit point exception. Le même témoignage invoqué plus haut, nous dit encore "qu'une conduite très pieuse et absolument irréprochable le distinguait entre tous".
Le regard pénétrant de M. Van Bommel n'eut pas de peine à remarquer les mérites exceptionnels de son nouvel élève. Aussi ne manqua-t-il pas d'en faire l'objet de ses attentions spéciales, et son dévouement ne se ralentit point, alors même que Bernard eut cessé d'être placé sous son autorité. L'influence que Mgr Van Bommel exerça sur son ancien élève, nous aurons l'occasion de la faire voir dans la suite de cette histoire, quand le diocèse de Liège deviendra le premier théâtre des travaux apostoliques du P. Bernard. Le même prélat déclara un jour, dans une réunion de personnages distingués, que le P. Bernard avait été un de ses meilleurs séminaristes à Hageveld. Plus tard, ayant appris son dessein d'entrer dans la Congrégation des Pères Rédemptoristes : "J'avais toujours pensé, dit-il, que, pour une si grande âme, un seul village ou une seule ville aurait été une sphère d'action trop restreinte".
Bien plus, lorsque, en 1840, le professeur Siegenbeek osa lancer publiquement cette accusation contre Hagenveld que "la stupidité y avait été organisée en grand, et qu'on y inculquait dans l'esprit des jeunes gens des principes dangereux à l'Etat", Mgr. Van Bommel se hâta de prendre la plume. Pour réfuter l'accusation, il n'hésita pas à citer les élèves de distinction qui s'étaient formés à Hageveld, et en particulier Bernard Hafkenscheid. Voici ses paroles : "Demandez au public ce qu'il pense d'un Hafkenscheid, ce docteur en théologie, ce puissant orateur, qui par l'éloquence et la sublimité de sa parole, remue des milliers d'auditeurs comme un seul homme, qui fait pénétrer la conviction dans leurs esprits et gagne leurs coeurs à Dieu, qui tout récemment encore vient de produire la plus salutaire impression sur les populations des deux villes importantes de Maestricht et de La Haye, sans en excepter les protestants eux-mêmes."
Nous n'avons pas besoin de dire la joie qu'éprouvaient les parents de notre séminariste, chaque fois que les renseignements de ses maîtres leur arrivaient; les notes étaient toujours excellentes. Pour ces parents vraiment chrétiens, la pensée qu'un de leurs enfants allait prendre rang parmi les prêtres du Seigneur, dépassait toutes les autres espérances qu'ils auraient pu concevoir. Leurs coeurs débordaient de reconnaissance envers Dieu, lorsque, considérant les heureuses dispositions et les vertus du jeune Bernard, aussi bien que les témoignages de ses supérieurs, ils ne pouvaient plus douter qu'ils ne vissent un jour en lui un prêtre saint et savant. C'est pourquoi ils envisageaient l'avenir avec une douce confiance. Cependant il plut à la divine Providence de disposer les évènements de manière à les éprouver touchant l'objet de leurs voeux; ils durent acheter au prix de bien des sacrifices la faveur après laquelle ils soupiraient avec tant d'ardeur.
To be continued...
(Typed by Mr Aime Dupont of Flanders)
(1) Il fut plus tard évêque de Curium i.p.i. Après avoir rendu de grands services à l'Eglise des Pays-Bas et des Indes hollandaises, il mourut le 10 novembre 1851, en sa maison de campagne de Oegstgeest, près de Leide, où il a immortalisé son nom par un établissement de bienfaisance. (Voir sa biographie dans le Katholiek, tom. XX.)
(2) Il naquit à Rotterdam le 23 mars 1793, et mourut le 30 novembre 1829, à Gand, où il s'était fixé dans le but de rétablir sa santé.
(3) Il fut plus tard évêque de Liège, et l'un des fondateurs de l'Université de Louvain. Décédé à Liège, le 7 avril 1852, il laissa à la Hollande, ainsi qu'à la Belgique, un souvenir impérissable de ses vertus et de ses travaux. Le Katholiek (tom. XXI), a donné une biographie de cet éminent prélat; elle est due à la plume de son disciple le plus distingué, le professeur Broere.